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L’urbanité. Habiter le Capital ou la technonature

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Ce texte reprend une conférence donnée dans le cadre du Colloque national Pour une poétique du numérique 2, CNRS, Université de Nantes, UFR SIC, 2010. Résumé : Produit contradictoire, Internet est consubstantiellement l’extension et l’intensification de la société urbaine dans notre vie et le sens de la ville, le sens de notre vie urbaine, entre habitation du technocapital et politesse du monde ; les réseaux urbains se comprennent à l’aune des réseaux numériques comme on comprend mieux la présence du singe en comprenant mieux celle de l’homme.

Photo © Lionel Bouffier « Urbanité 41 »

Ce titre un brin sophistiqué propose, sinon une actualisation épistémologique (Ulmann, 2004), un (ixième) retour à et un rapprochement entre Karl Marx et à Martin Heidegger (Axelos, 1961 ; Kittsteiner, 2007). De fait, dans les quelques propositions qui suivent, je m’appuierai sur certaines réflexions du second ainsi que sur les travaux des sociologues et philosophes marxistes Henri Lefebvre (Le droit à la ville, 1968-1972) et Manuel Castells (La question urbaine, 1971-1975), ainsi que sur l’ouvrage La condition urbaine (2005) d‘Olivier Mongin. (Dans son second ouvrage sur la ville, O. Mongin reprenait les thèses de Françoise Choay (Pour une anthropologie de l’espace, 2006), thèses qui, au-delà de l’idéologie de l’environnement, semblent heideggériennes, au sens d’un « existentialisme du sol » ou d’une « philosophie terrienne ».)

dedaleAux plans micro-, méso- et macro-social, dans « la ville », les mondes numériques et sur les réseaux Internet, les problèmes contemporains que nous nous posons (the thing : « nos affaires ») sont des problèmes de portes, de ponts, de croisements et de tectoniques culturels — jeux et enjeux sociopolitiques de placement, de compétition et d’estime (Hegel parlait de « reconnaissance mutuelle »). Afin de définir ces problèmes d’aucuns parlèrent de dialectique universel/particularisation, de créolisation ou de rhizome et de réticularité, d’« effet de réseaux », voire de « modernité liquide » (Georg Simmel parlerait de modernité séminale). Avant ce modern style, on parlait plus simplement de dédale et de kabbale (celle de la « ville-refuge »).

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Autrement dit, au milieu de la nuit du monde, pour l’être occidental (plutôt), qu’y a-t-il sinon la ville, centre de tous les centres à vivre et à traverser ? (Au « milieu de la nuit du monde », c’est-à-dire au milieu du gué, entre le jour et la nuit, le visible et l’invisible, le bas et le haut, le public et le privé, l’obscénité du spectacle et la privacy, les mythes de l’intériorité et de la sublimité.)

Pour l’homme, qu’y a-t-il comme « biotope », sinon la ville, la ville comme affirmation/confirmation et négation du sol d’où il pro-vient ?

Où, à présent, le sujet supposé occidental vit-il réellement ? C’est-à-dire : où vivent les quatre figures de « la manière humaine de vivre », figures et qualités, qui se répondent et se tiennent rassemblées, de l’enfant, de l’adulte, de la femme et de l’homme ?

Ces figures vivent au milieu du gué, entre le ciel du Web et la terre quotidienne, parmi des figures, les demi-dieux de la consommation et de la vie privée (on les nomme avatars) et parmi les hommes (on peut également les nommer sociétés : « société » veut dire « humanité » et inversement, il n’y a pas de séparation entre elles ; un homme lui-même est un site, un lieu, une société et on ne trouve de « société humaine » que dans un homme).

Avançons que le milieu de la nuit du monde — les villes, les mondes numériques et leurs pratiques quotidiennes et artistiques — pourrait, en général, c’est-à-dire conceptuellement, se nommer l’urbanité.

Dès lors, on voudra bien plutôt comprendre cette « urbanité » dans une double acception : celle ancienne de politesse, nécessité de la courtoisie, et celle balzacienne, plus moderne, qui va au-delà du monde latin (différemment d’Yves Chalas dans Villes contemporaines, 2002).

urbanite3Dans Le droit à la ville (pp. 21, 255), Henri Lefebvre écrivait : « Il y a le tissu urbain porteur de cette « urbanité » et la centralité, ancienne, rénovée, nouvelle. (…) Destruction de la nature pendant que l’urbanité se disperse dans un espace pseudo-naturel. »

L’urbanité (ce qu’est le monde urbain) semble aller, si l’on en croit la dialectique, avec la naturalité ; naturalité ou troisième moment de la Nature passée par la critique de la ville, puis la critique de la critique de la ville…

Pour sa part, Mongin parle de « l’urbain diffus », réfraction du « spectacle diffus » du Guy Debord de 1967 peut-être ?

Ce « tissu urbain », mythologies mêlées de la ville et d’Internet, de l’art dans la ville et sur Internet, serait une critique en actes de la centralité, disons-le : une critique du « spectacle concentré », puis du Spectacle version 1988. (Que le concept de Spectacle soit à la fois une métonymie prospère et une astrologie/supercherie ne m’inquiète guère : on y reconnaît la critique renouvelée du technocapital des années Marx et Heidegger.)

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Ce tissu urbain porteur de la ville et d’Internet, de leurs fantasmes et de leur(s) critique(s), serait le milieu du gué où se devineraient tant les biens urbains du Salut que ceux du Salut numérique. (Nulle différence entre ces Saluts : il s’agit de la même demande ; cybersky naturel pour les natives/enfants des Tron, Johnny Mnemonic, Cobaye, Matrix, Tron Legacy, etc.)

Voici ma thèse :

Dorénavant, « la ville », les frontières Internet et leurs critiques ne peuvent conceptuellement aller les unes sans les autres, et tous les imaginaires et toutes les existences ne jamais renvoyer qu’à un seul sol sur lequel nos désirs et nos peurs, nos territoires et nos arts prennent placent et prennent racines afin de pousser vers quelque chose d’autre.

Vers quoi ?…

Vers une sortie de soi et de la ville, vers l’« être de l’habitation » (Heidegger, 1958) et une critique de l’économie politique en actes…

Selon cette thèse, cette urbanité-là serait la citoyenneté augmentée du numérique, des réseaux sociaux et du World Wild Web. (Peut-être serait-ce une « écologie de la ville » ou la symbiose et son dépassement de la ville réelle et les mondes numériques, ville numérique et jeux vidéo ?)

Le titre riche de ce texte, « L’urbanité. Habiter le Capital ou la technonature », suppose un postulat de recherche :

urbanite2De facto, ce titre, à la fois intuition raisonnée et fruit d’autres travaux — j’étudie les imaginaires (sans Maffesoli) et j’essaie de comprendre les versions et les évolutions de la Mathesis Universalis —, postule que ce que montre la trajectoire anthropologique de la ville est « la parole disante » d’Internet et que ce que montre la trajectoire contemporaine d’Internet est « la parole disante » de la ville.

Par « parole disante » Heidegger entend le mythe (Qu’appelle-t-on penser ?, 1954). Pour ma part, j’y entends le mythe, le logos et la poétique : ce qui se conte et ce qui se fait, ce qui se raconte et ce qui se dit (discours intellectuel).

Bref, la ville, comme Internet, s’accomplit tout autant dans les régimes du mythe et de la poétique que dans le logos, et réciproquement.

La parole disante : qui, à chaque fois, parle dans la ville et sur Internet ? et qui habite la ville et Internet en mortel ?

« Habiter, écrit ailleurs Heidegger, (est) dans tous les cas, la fin qui préside à toute construction. » Il poursuit : « Être homme veut dire : être sur terre comme mortel, c’est-à-dire : habiter. (…) Nous n’habitons pas parce que nous avons « bâti », mais nous bâtissons et avons bâti pour autant que nous habitons, c’est-à-dire que nous sommes les habitants et sommes comme tels. » (« Bâtir-Habiter-Penser », 1958)

Ce que nous fait voir la trajectoire occidentale de l’habiter — plus haut, je parlais de « trajectoire anthropologique de la ville » ; la recherche du terme exact et l’exagération de certaines assertions tâchent de « faire pont » d’un monde à l’autre ; j’assume donc les « excès » de cette modélisation —, ce que nous fait voir la trajectoire occidentale de l’habiter est ce que peuvent Internet et les mondes numériques (avantages et inconvénients) et que ce que nous fait voir la trajectoire d’Internet et des mondes numériques est ce que peut l’habiter (avantages et inconvénients).

Dans ce jeu de creux (le numérique ou 0) et de pleins (l’architecture ou 1), il n’y a pas seulement réfraction, comme un effet miroir, mais dialectique de l’habitation — retour à la source de ce que « veut dire » habiter.

Habiter : « volonté de technique » » et « volonté de bonheur » s’y rencontrent et s’y chevauchent, s’y échafaudent même (comme demande continuelle) ; ces « ensembles techniques » que sont la ville et Internet feraient donc apparaître et chercheraient la nature de l’habitation.

Peut-être saisira-t-on mieux cette assertion si l’on rapproche deux idées de Sigmund Freud et de Jacques Attali.

Dans L’inquiétante étrangeté, le premier énonce que « L’opposé du jeu n’est pas le sérieux, mais… la réalité. » (1985 : 35) et dans Chemins de sagesse, le second écrit que « Le jeu est l’ennemi de la guerre, puisqu’il en est le simulacre. (…) Demain, le jeu explicitera et dénoncera plus encore qu’aujourd’hui ce que sont la guerre, le terrorisme, la violence. » (1996 : 195)

urbanite4Je pense qu’au sein même de la réalité, le jeu-simulacre est l’ennemi de la réalité ; en d’autres termes, que ses règles explicitent et dénoncent l’atteinte dramatique de l’être (et) de la chair. « L’ennemi de la réalité », c’est-à-dire son ombre critique, son négatif, explicite et dénonce, par contraste, cette réalité lumineuse : ce qui s’y passe ; le jeu, dans son plan (au double sens du terme), souligne la réalité, fait sortir de terre ce qui s’y passe : il y a métonymie et « monadologie » au sens où chaque monade contienne le monde en elle.

En tant que « faire apparaître », le jeu fait apparaître non point la réalité mais ce qui s’y passe.

Or, bien avant la e-economy, le e-nazism et la e-pedophily, et avant même l’internetting (1972), qu’est-ce que le réseau développé par l’US Air Force (1962) et Paul Baran (1964) et nommé ARPANET (1969), sinon un jeu de guerre froide et de codeurs universitaires ? Qu’est-ce que ce moyen de communication (totale…) et de re-centralisation de ce qui se passe dans le monde ? Qu’est-ce que ce réseau de liens, sinon une nouvelle ré-solution qui, dans une nouvelle langue opposée à la réalité ou une nouvelle opposition contrastante, explicite et « dénonce » ce qu’elle est, c’est-à-dire ce que sont les humains et leurs (biotopes) lieux de vie ? (Erving Goffman et Yves Winkin nommaient très justement (en durkheimiens ?) leur ouvrage commun, Les moments et leurs hommes, 1988.)

Qu’est-ce que cette langue, sinon celle qui ne parle que de conscience et des moyens de mieux transmettre/préserver, c’est-à-dire habiter le monde en poète ?

Ainsi le fait social urbain parlerait-il de l’habitation du réseau Internet et le fait social Internet parlerait-il de l’habitation urbaine. Toutefois, ces faits sociaux totaux auraient pour visée de parler de « l’être de l’habitation » ; être de l’habitation qui est le ménagement et l’apprentissage de tous les habiter, le ménagement et le soin-construction du monde.

monstrehadopiPour le dire autrement, la ville et Internet seraient les Monstres (les signes dans d’autres traductions) de quelque chose qui se retire et qui se montre en se retirant (Heidegger, 1954). Que montrent ces Monstres ?

Ils exposeraient que les systèmes techniques urbain et d’Internet sont ce qui est monstrueusement privé de sens et que nous devons — c’est-à-dire que nous avons pour devoir, précisément et précieusement aujourd’hui, de leur redonner du sens. Redonner du sens à ces systèmes, c’est-à-dire que nous sommes dans l’obligation de leur faire un contre-don et, en conséquence, que nous sommes enfin dans l’obligation de leur rendre ce que « veulent dire » ces systèmes… en dehors de l’économie politique.

Redonner sens au système urbain et à Internet, je nomme donc cela l’urbanité. (Vague ou pénible arrogance de ma part, cette urbanité-là, commune, structurelle, dépasserait les propositions sociologiques sur la ville moderne et sur Internet…)

Et puis, dans ces lignes où trouver les cultures et territoires de l’art ?…

On les trouve dans le sous-texte de ce texte et dans les souterrains de nos vies, dans toutes ces pratiques interstitielles, braconnages et bricolages de la vie quotidienne critique ; pratiques interstitielles qui se font et se défont consubstantiellement tant dans la ville sensuelle que sur le Net imaginal, tant dans l’éther numérique que dans la matière urbaine.

Bref, je voulais simplement rappeler qu’il n’y a ni nouveau contenu aux systèmes urbain, à Internet et aux arts, ni nouvelle sensation, mais qu’il y a les nouvelles langues de nouveaux parlêtres/apparêtres que nous devrions nommés, non point surfers ninjas ou internautes (utilisateurs du réseau Internet), mais habitants de l’urbanité.

À présent, si, selon ce qu’enseigne Carl von Clausewitz dans De la guerre, Livre VIII, chapitre 6B, « La guerre est un instrument de la politique. » : « la guerre n’est rien d’autre qu’une continuation des relations politiques par l’immixtion d’autres moyens (et que) ces relations politiques ne cessent pas avec la guerre elle-même (et) qu’elles subsistent dans leur essence, quels que soient les moyens dont elles se servent. », alors, dans le cadre de ce bref essai consacré à la poétique du numérique, je soutiendrais que l’économie politique du réseau Internet n’est rien d’autre qu’une continuation des relations urbaines par l’immixtion d’autres moyens et que ces relations urbaines ne cessent pas avec Internet lui-même, et qu’elles subsistent dans leur essence, quels que soient les moyens dont ces relations urbaines se servent.

Ici, je répète donc que l’économie politique du réseau Internet est un instrument de l’économie politique de la « société urbaine » et de l’économie politique tout court. Que son air y soit épouvantablement rationaliste ou épouvantablement anti-rationaliste, c’est-à-dire moderne, technophile ou technophobe sur le même curseur idéologique de la seconde modernité, ne change en rien son instrumentation.

Surtout, l’économie politique du réseau Internet, c’est le retour de l’industrie et de la division sociale du travail dans nos vies, alors que la ville avait une tendance critique vis-à-vis de l’industrie.

Produit contradictoire (Platon, La République, Livre VII), Internet est consubstantiellement l’extension et l’intensification de la société urbaine dans notre vie et le sens de la ville, le sens de cette vie urbaine, la nôtre, habitants de l’urbanité et de la politesse du monde.

Dès lors, les réseaux urbains se comprennent à l’aune des réseaux numériques comme on comprend mieux la présence du singe en comprenant mieux celle de l’homme. (Si Marx écrit quelque chose comme cela, Jean-Pierre Séris annonce aussi : « La technologie ne doit pas nous cacher les techniques. Elle devrait même nous aider à mieux les comprendre. », Séris, La technique, 1994. J’entends cette phrase ainsi : la technologie et son idéologie ne doivent pas nous cacher la ville ; elles devraient même nous aider à mieux en comprendre la nature.)

habiterDans sa grande généralité, comme sur les autoroutes, les périphériques et dans les villes, l’e-political economy, c’est-à-dire les sites distributeurs de marchandises, d’informations et de capitaux, les sites de prostitution globale et les réseaux sociaux, l’e-political economy est habitée. Cela veut dire qu’il y a toujours quelqu’un pour contempler, en anthropologue hégélien, courtier marxiste, pédophile technophobe ou technophile plus ou moins métropolitain, le spectacle de la diffusion et de la circulation mondiales de ces sites et du capital, de ces marchandises, informations et prostitution globalisées.

Les arts et, plus précisément, les arts numériques et numérisés — qui, comme la politique dans la guerre, conservent ainsi leur essence mais non point leurs formes marchandes, leur valeur d’échange —, les arts interviennent à ce moment même, celui du regard du spectre ou de la contemplation du spectacle global. (Cette assertion pose que je tiens plus à C. von Clausewitz qu’à Walter Benjamin : les arts numériques et numérisés ne sont rien d’autre qu’une continuation des rapports à l’art par l’immixtion d’autres moyens. Ces relations à l’art ne cessent pas avec les arts numériques et numérisés et subsistent dans leur essence, quels que soient les moyens dont elles se servent.) Ces arts interviennent dans les interstices que trouve et développe incessamment la vie sociale. La vie sociale, c’est-à-dire la critique inachevable de l’économie politique de la société urbaine et, via les arts et la « vie quotidienne numérique », la critique de la vie quotidienne urbaine.

Aussi, via les arts, la condition numérique critique la condition urbaine et, vieux machin, l’esthétique critique la reproduction des forces de production, etc.

Si, finalement, il y a une économie politique de la ville et une économie politique de la ville numérique (e-political economy), alors, synthétiquement/dialectiquement, il y a une économie politique de l’urbanité, fruit, gaine et graine du capitalisme. Cette économie politique de la politesse capitaliste, malgré le peu de souci et de soin du capitalisme, malgré son inclinaison à la destruction de l’habitation au sens heideggérien, d’aucuns la nomment « développement durable »… Bref, tout ce qu’il faut pour que le capitalisme perdure dans son essence.

Pour ma part, je nomme cette vision du monde qui ne cesse de s’objectiver « capitalisme sympa » (technologique, permissif, pessimisme joyeux) ou « capitalisme durable ». (La première expression est consignée dans les premiers cahiers de l’Internationale Salopard (Nantes, 1994-1998) ; quant à la seconde, il ne s’agit évidemment ni du sens IKEA du terme, ni du sens vert-libéral-libertaire.) Car, tous les jours et même la nuit, de quoi parlons-nous ?

Nous nous interrogerons tous sur les moyens et les fins de comment habiter le Capital — et non le monde.

Il y aura donc, inévitablement, et par mode et par science, une critique de l’économie politique de la politesse capitaliste et de l’urbanité, c’est-à-dire une critique au moins marxiste et heideggérienne de la totalité économique urbaine et numérique qui se prend pour la totalité sociale ou l’habitation du monde.

David Morin Ulmann / OMNSH – Observatoire des Mondes Numériques en Sciences Humaines

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