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Les PME innovantes en quête de nouveaux territoires

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« Une entreprise innovante sur deux est présente sur le marché international » ;  aussi,  des entrepreneurs s’expatrient pour créer leur entreprise ou une filiale, car l’export devient un axe stratégique du développement.

La création d’entreprises par des Français à l’étranger concernait jusqu’à présent essentiellement les filiales de grands groupes français. Il existait, certes, des exemples de particuliers qui s’aventuraient à créer des entreprises à l’étranger, mais le phénomène semblait circonscrit aux secteurs de la restauration, de la croissanterie ou de la commercialisation de produits traditionnels français.

L’expatriation d’entrepreneurs qui s’installent à l’étranger pour créer une entreprise ou gérer des investissements dans les secteurs des nouvelles technologies ou des finances est un phénomène nouveau.

Le rapport de l’Observatoire des PME 2011 d’OSEO publié le 20 décembre dernier, qui dresse un véritable panorama des 3,5 millions de PME françaises, met en évidence un « fort rebond des échanges et du nombre de PME exportatrices en 2010. » Les PME exportatrices, qui représentent 31 % de l’ensemble des PME, disposent en effet de solides atouts :

– Une croissance plus élevée : progression du CA de 10,4 % en 2010 pour les PME fortement exportatrices qui réalisent plus du quart de leur activité à l’international, et 4,5 % pour les moyennement exportatrices (6 % à 25 % de l’activité à l’international). Les PME non ou très peu exportatrices ont eu une croissance plus modérée avec +2,6 % en 2010.

– Des créations d’emplois supérieures : « L’indicateur courant de l’emploi des entreprises « moyennement exportatrices » ressort à + 20 (après +9 fin 2010) et celui des « fortement exportatrices » à +19 (contre +13), tandis qu’il ne gagne que 4 points à +8 chez les « non exportatrices » ».

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La crise sans précédent que nous affrontons aujourd’hui est une occasion unique pour une TPE-PME, qui voit son marché intérieur se rétracter, d’aller tester de nouveaux marchés à l’international. Est-ce un hasard si les entreprises qui réussissent à l’export ont toutes en commun leur capacité à innover ? « Think global, act local » : cette antienne tient lieu aujourd’hui de « règle d’or ». Encore faut-il que l’entreprise connaisse les potentialités d’une démarche à l’export. Les nombreux exemples de  » start-up  » françaises dans la Silicon Valley et d’entrepreneurs expatriés qui y ont délocalisé leur outil de travail témoignent de l’amplification et de l’accélération du phénomène.

Les  » start-up  » françaises de la Silicon valley

Une première vague d’entrepreneurs français s’était implantée en Californie dès les années 70 et 80 pour participer à la naissance de la micro-informatique.

Ce dynamisme et l’exemple des pionniers ont incité de nombreux jeunes diplômés à tenter leur chance en Californie. Une partie d’entre eux sont venus avec une idée ou un projet, tous avec la volonté de faire fortune. Certains avaient à l’esprit des opportunités précises, d’autres voulaient simplement participer à  » l’aventure  » de la Silicon Valley ou en vivre les mythes :  » milliardaires en baskets « ,  » entreprises nées dans un garage « . Dans la majorité des cas, ces ingénieurs sont arrivés comme salariés d’entreprises françaises ou américaines, venues souvent les recruter à la porte des Universités et des Écoles françaises.

Leur afflux dans la Silicon Valley a permis l’émergence à San Francisco d’un véritable milieu français des nouvelles technologies. Des clubs plus ou moins informels réunissent à intervalles réguliers chercheurs, entrepreneurs et ingénieurs français. Le plus important d’entre eux, DBF,  » Doing Business in French « , créé par de jeunes entrepreneurs français, rassemble chaque mois une centaine de personnes. On y rencontre des entrepreneurs déjà bien implantés et des jeunes Français qui songent à s’installer soit pour réaliser un projet d’entreprise, soit pour profiter des nombreuses opportunités d’embauche dans le secteur de l’informatique. D’autres associations, telles que ISF (Ingénieurs et Scientifiques Français), rassemblent des ingénieurs informaticiens ou des anciens élèves de grandes écoles.

Les services diplomatiques français à San Francisco ont, de leur côté, enregistré une augmentation de 30 % de la communauté française immatriculée au cours des trois dernières années, dans laquelle figure une part importante de jeunes spécialistes des nouvelles technologies. Ils estiment à 40.000 le nombre total des Français installés en Californie. Ce chiffre, contrairement à ce que la presse a laissé entendre, ne concerne pas les créateurs d’entreprises, mais l’ensemble des Français installés en Californie, quels que soient leur âge et leur activité.

Le Consulat de San Francisco estime que 5 à 10.000 d’entre eux sont actifs dans les hautes technologies. Un rapport de l’Attaché pour la Science et la Technologie de l’Ambassade indique que les  » estimations qui circulent parmi la communauté française convergent approximativement vers 7.000 Français dans la baie de San Francisco, actifs dans les domaines de l’informatique, de l’internet, de l’électronique et des télécommunications « . Cette estimation est cohérente avec une autre étude réalisée pour le compte de l’Union européenne sur la présence entrepreneuriale européenne dans la Silicon Valley, qui considère qu’il y a 20.000 à 30.000 Européens travaillant dans ces secteurs dans la Silicon Valley.

Pour l’essentiel, les communautés françaises à l’étranger sont composées de personnes qualifiées : Cadres et professions intellectuelles : 31,1 %, Employés : 30,3 %,  Professions intermédiaires : 20,2 % , Artisans, commerçants, chefs d’entreprises :  10,7 %,  Ouvriers : 4,6 %,  Exploitants : 0,4 %,  Actifs en recherche d’emploi :  2,5 % (Source : Direction des français de l’étranger. Ministère des affaires étrangères.) Les cadres et les professions intellectuelles sont, proportionnellement, mieux représentés parmi les expatriés qu’au sein de la population active en France. Cette sur-représentation s’est accentuée au cours des dernières années. Depuis 1992, avec une croissance de 22,1 %, les cadres et les professions intellectuelles ont progressé plus fortement que l’ensemble des Français installés à l’étranger. Cette progression, entre 1998 et 2010, s’est manifestée principalement en Amérique du Nord (+38 %) et en Europe occidentale (+ 19 %).

Le sentiment général des personnes rencontrées, en particulier celui des investisseurs et des avocats qui interviennent lors de la création de ces sociétés, est qu’il doit y avoir de l’ordre de plusieurs centaines d’entreprises fondées par des Français dans la Silicon Valley.

Pourquoi les entreprises choisissent-elles la Silicon Valley ?

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La Silicon Valley représente un dynamisme et des opportunités qui n’existaient pas en France au moment où les entreprises en sont parties.

Le fait est que, dans le secteur des nouvelles technologies, la Californie donne accès à une concentration de ressources humaines, technologiques et financières unique au monde. La Silicon Valley accueille 20 % de l’industrie mondiale des nouvelles technologies : elle dispose de ressources financières considérables avec 40 % du capital risque américain soit plus de 12 milliards de francs investis chaque année dans les nouvelles technologies de l’information. Les jeunes entrepreneurs rencontrés soulignent qu’au-delà du marché et des financements disponibles, la Silicon Valley se caractérise par l’existence d’un  » écosystème entrepreneurial  » où l’osmose entre le monde de la recherche et celui de l’entreprise est presque parfaite et qui possède la capacité d’attirer, d’accueillir et d’intégrer les énergies et les talents du monde entier.

Exemples d’entreprises qui réussissent à l’international lors de l’émission « Paris d’avenir » sur BFM Business mardi 21 février 2012 :

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Le développement des nouvelles technologies de l’information aux États-Unis

De par sa taille et sa fulgurante croissance, le marché des nouvelles technologies aux États-Unis attire les ingénieurs et les informaticiens du monde entier.

En avance de plusieurs années sur les autres pays, le marché américain des nouvelles technologies représente selon les produits de 50 à 75 % du marché mondial. Il constitue aujourd’hui un passage obligé pour toute entreprise du secteur qui souhaite conquérir une envergure internationale.

La taille de ce marché s’accompagne d’un très fort dynamisme qui entraîne l’économie américaine tout entière. Le secteur des technologies de l’information a contribué à hauteur de 35% à la croissance de l’économie américaine de 1998 à 2008 créant plus de 5 millions d’emplois. Un développement tel que le Département du Commerce estime qu’en 2011, près de la moitié des emplois salariés est le fait des industries productrices ou fortement utilisatrices de matériels et de services liés aux technologies de l’information.

La croissance de la nouvelle économie aux États-Unis s’appuie sur une dynamique exceptionnelle de l’innovation et de la création d’entreprises, fortement soutenue par la diffusion rapide d’Internet et du commerce électronique tant dans le monde de l’entreprise que dans le grand public.

En 1998, le volume du commerce électronique de détail aux États-Unis a dépassé les 60 milliards de dollars, les prévisions étaient de 80 milliards de dollars en 2002 et 180 milliards dès 2005. Le commerce électronique inter-entreprises était estimé quant à lui à 180 milliards de dollars en 2000 et dépassait les 1.000 milliards de dollars dès 2010.

Un développement aussi spectaculaire explique qu’il ait attiré des capitaux en quantité sans cesse croissante. Des investisseurs privés, les  » business angels « , anciens entrepreneurs ont joué un rôle essentiel dans le suivi et l’accompagnement des entreprises naissantes, du démarrage à l’introduction sur le NASDAQ. Ces  » bussiness angels  » américains, seraient, d’après les estimations de la réserve fédérale de Dallas, au nombre de 250.000, représentant 70 milliards de dollars d’investissements dans quelques 110.000 entreprises. Leur rapport annuel de fonds atteint 20 milliards de dollars et concerne 30.000 entreprises nouvelles. L’apport moyen serait de 80.000 dollars par investisseur et de 660.000 dollars par entreprise. Ce NASDAQ qui offre une  » sortie  » sans équivalent dans le monde aux opérateurs qui financent les entreprises innovantes. 

Mais il n’y a pas que les Etats-unis…

Prenons l’exemple de l’Angleterre. La présence des entreprises françaises au Royaume-Uni est plus ancienne et plus massive. Elles y ont créé plus de 1.500 filiales, employant 250.000 salariés, notamment dans les services publics. Le programme de privatisation engagé dès l’époque de Mme Thatcher s’est traduit par une croissance des prises d’intérêt dans ce secteur. Les entreprises françaises maîtrisent 18 % du marché de la distribution d’eau potable au Royaume-Uni, fournissent plus de 10 % de l’électricité du pays, assurent 20 % du traitement des déchets et 20 % du transport ferroviaire de passagers.

Si l’implantation de filiales d’entreprises françaises qui se sont intéressées au marché anglais est ancienne, la croissance du nombre d’entrepreneurs venant profiter d’une fiscalité favorable et d’un climat propice à l’entreprise est plus récente.

Ce mouvement de délocalisations échappe aux recensements statistiques. C’est à travers les professionnels du secteur des services aux entreprises (avocats, banques, etc…) qui conseillent les arrivants et facilitent leur démarche qu’on peut le mieux l’appréhender. Des indications fournies par les professionnels que le Groupe de Travail a rencontrés et celles recueillies par le Poste d’Expansion Economique à Londres, il ressort que plusieurs catégories d’entrepreneurs ont choisi de poursuivre leurs activités en Angleterre :

– les patrons de PME des secteurs traditionnels, qui délocalisent leurs entreprises en Angleterre pour profiter d’une fiscalité plus favorable et d’un coût du travail plus faible ;

– les entrepreneurs qui, ayant réussi, disposent d’actifs suffisamment importants pour que la fiscalité française sur le patrimoine les incite à partir ;

– les jeunes entrepreneurs du secteur financier et de celui des nouvelles technologies qui sont attirés tout à la fois par l’environnement administratif et fiscal britannique, par la proximité géographique, par un accès plus facile au marché américain, par l’acquisition d’une image  » anglo-saxonne  » dont ils estiment qu’elle favorisera leur expansion future en Europe, et par l’entrée sur le marché britannique, considéré comme le laboratoire expérimental le plus avancé en Europe dans le domaine des technologies de l’information.

La part respective de ces diverses catégories est difficile à mesurer. Pour les PME des secteurs traditionnels, comme pour les start-up du secteur des finances et des nouvelles technologies, les implantations au Royaume-Uni sont souvent le prolongement d’une activité qui a déjà démarré en France. Les entreprises ne choisissent que dans un deuxième temps de transférer leurs centres de décision en Angleterre.

L’organisme de promotion des investissements étrangers dans le Kent, région avec Londres et le Sud Est de l’Angleterre vers laquelle s’orientent volontiers les Français et où se situe Ashford, première station de TGV après le tunnel sous la Manche, enregistre depuis 1996 une augmentation régulière et importante du nombre d’entreprises françaises présentes dans cette région, qui en compterait plus de 50.

Dans le secteur des nouvelles technologies, les professionnels confirment une croissance du nombre de dossiers de start-up françaises se créant à Londres. Le nombre de dossiers traités par les consultants rencontrés est très variable, mais le sentiment prévaut qu’il y a dans ce secteur entre cent et deux cents entreprises françaises qui s’établissent à Londres chaque année.

Les professionnels du secteur considèrent que le phénomène est appelé à s’accroître. Un indice des anticipations en la matière est fourni par la propension des cabinets d’avocats britanniques à s’installer à Paris. La stratégie du cabinet d’avocats britannique Richards Butler est caractéristique. Ce grand cabinet londonien, traditionnellement présent sur le marché des entreprises britanniques installées en France, s’appuyait jusqu’ici sur un bureau à Paris. Il estime aujourd’hui que la France dispose, dans les activités liées à Internet, d’une offre importante et que l’essor rapide de la nouvelle économie au Royaume-Uni constitue pour ces sociétés françaises une opportunité encore insuffisamment exploitée, d’autant plus que la Grande-Bretagne est un portail ouvert sur les marchés anglophones et constitue, de ce fait, un premier pas dans une démarche d’internationalisation. Pour prospecter ces entreprises, Richards Butler a choisi de faire l’acquisition d’un grand cabinet français et de recruter un personnel francophone qui assurera la liaison Londres/Paris pour le compte des entreprises françaises candidates à l’internationalisation.

Une évolution favorisée par la mondialisation

La mobilité internationale des entreprises n’est pas propre à la France. Elle touche l’ensemble des économies industrialisées.

L’intégration croissante de celles-ci a imposé aux entreprises une plus grande ouverture sur l’étranger. Aucune entreprise ambitieuse ne peut plus, en effet, aujourd’hui ignorer la dimension internationale de son activité tant l’espace économique se limite de moins en moins aux frontières nationales.

Les entreprises ont un besoin croissant de prospecter les marchés internationaux, de négocier avec des partenaires étrangers ou de travailler dans des filiales implantées hors de France. La mondialisation a entraîné une ouverture croissante des champs d’activité, tant pour les entreprises qui doivent se défendre en France contre des concurrents étrangers ou s’implanter sur des marchés lointains, que pour leurs salariés dont elles exigent de plus en plus qu’ils aient une expérience internationale.

La mondialisation abat, par ailleurs, les barrières culturelles et linguistiques qui freinaient la mobilité des cadres. On assiste progressivement à l’émergence, au-delà des particularismes nationaux, de références et de modes de penser communs à l’ensemble des élites nationales.

Dans certains secteurs d’activité comme la finance et l’informatique, où les marchés sont mondiaux et les entreprises souvent internationales, il est fréquent aujourd’hui de voir des entreprises recruter des salariés de cinq à dix pays différents. L’internationalisation de ces secteurs favorise la lente émergence d’une élite entrepreneuriale cosmopolite et donc essentiellement mobile. Cette mobilité est favorisée par la pratique des langues étrangères, surtout de l’anglais, par la multiplication dans les écoles de commerce et d’ingénieurs des stages et séjours d’études à l’étranger, et aussi par le grand nombre des jeunes qui ont choisi d’effectuer leur service national à l’étranger dans la coopération. Alors qu’environ 40 % seulement des Français nés dans les années 1950 possédaient quelques notions d’anglais, d’allemand ou d’espagnol, ils sont 70 % dans les générations nées après 1960. 

La France, comme les autres grands pays industrialisés, s’est adaptée à un monde de plus en plus global. Elle dispose désormais de nombreux cadres ouverts sur le monde extérieur et, pour la plupart d’entre eux, mobiles. Cette mobilité est un atout. Elle représente également un défi, celui d’offrir à ces cadres un environnement suffisamment attractif pour qu’ils ne s’orientent pas vers des marchés extérieurs plus dynamiques et des environnements entrepreneuriaux plus porteurs.

La recherche d’un cadre administratif et réglementaire plus favorable à la création d’entreprise à l’étranger

Tous les entrepreneurs rencontrés à l’étranger ont souligné combien l’environnement administratif et réglementaire, la fiscalité et l’accueil reçu aux États-Unis et en Angleterre étaient mieux adaptés aux besoins des entreprises qu’en France. Les créateurs d’entreprise français rencontrés aux États-Unis et en Angleterre ont été unanimes à constater combien il était simple d’y créer des entreprises. Pour les créateurs d’entreprises à l’étranger cette situation est due à un ensemble de facteurs parmi lesquels l’environnement administratif joue un rôle prépondérant : 

– des formalités liées à la création d’entreprise souvent plus simples que celles en vigueur en France

– des réglementations du travail moins pénalisantes pour les petites structures

– des administrations plus à l’écoute des besoins des entreprises

Cette réussite de l’expatrialisation des entreprises s’explique donc par la conjonction de plusieurs facteurs :

– une large diffusion des nouvelles technologies, favorisée par un système de tarification forfaitaire des télécommunications locales ;

– la multiplication de pôles technologiques favorisant l’osmose entre chercheurs et entrepreneurs ;

– un système de financement facile d’accès et complet couvrant l’ensemble des besoins des entreprises naissantes et comprenant : des investisseurs privés, les  » businness angels « , qui jouent un rôle essentiel au niveau de la création d’entreprise, plus de 700 sociétés de capital risques assurant le financement de leur développement et un marché boursier dynamique, valorisant les entreprises utilisatrices des nouvelles technologies ;

– un environnement fiscal, social et culturel favorable à la prise de risque.

L’ensemble de ces facteurs a contribué depuis cinq ans à un extraordinaire développement des nouvelles technologies aux Etats-Unis, développement qui contraste avec le relatif retard de la France dans ce domaine.

Pour plus d’informations : 

Aides financières à l’exportation :

UBIFRANCE : Agence Française pour le Développement International des Entreprises : http://www.ubifrance.fr/default.html

OSEO : soutient l’innovation et la croissance des PME : http://www.oseo.fr/

COFACE : gère, pour le compte et avec la garantie de l’Etat français, des garanties publiques destinées à encourager et soutenir les exportations françaises : http://www.coface.fr/

Divers : 

« Ces français qui partent réussir ailleurs » : http://www.lepoint.fr/archives/article.php/25889 

amazon Le livre de Pascal Pick :  « Un paléanthropolongue dans l’entreprise » Editions Eyrolles sept. 2011- ou comment s’adapter et innover pour survivre.

 

Ministère des affaires étrangères : http://www.diplomatie.gouv.fr/fr/

Portail des entreprises qui partent à l’étranger : http://www.mobilite-export.com/

« Rejoignez les entreprises qui réussissent au Japon » : http://www.lalettremensuelle.fr/IMG/pdf/CCIFJ_presentation_fr.pdf

Union des chambres de commerce et d’industrie françaises à l’étranger : http://www.facebook.com/pages/Union-des-Chambres-de-Commerce-et-dIndustrie-Fran%C3%A7aises-%C3%A0-lEtranger/108586219175078?sk=info

Nouveaux règlements américains de sécurité : http://www.bdc.ca/FR/centre_conseils/articles/Pages/nouveaux_reglements_de_securite_americains.aspx

Le réseau des entreprises qui réussissent à l’international, l’UCCIFE : http://www.uccife.org/

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