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L’Unesco enrichit son catalogue du Réseau mondial des réserves de biosphère

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Le Conseil international de coordination du Programme de l’UNESCO sur l’Homme et la biosphère, réuni à Palembang (Indonésie) du 23 au 28 juillet, a ajouté 24 nouveaux sites au Réseau mondial des réserves de biosphère. « Sites de soutien pour la science au service de la durabilité », ces lieux spéciaux permettent de tester des approches interdisciplinaires innovantes pour comprendre et gérer les changements et les interactions entre systèmes sociaux et écologiques, y compris la prévention des conflits et la gestion de la biodiversité.
 
Les réserves de biosphère sont des sites où des idées innovantes en relation avec le développement durable sont testées et réalisées. Elles combinent connaissances scientifiques et modes de gouvernance visant à réduire la perte de biodiversité, améliorer les moyens de subsistance des habitants, favoriser les conditions sociales, économiques et culturelles essentielles à la viabilité du développement durable.

 
La conservation de la biodiversité et la gestion des ressources naturelles dans ces écosystèmes exceptionnels sont les prérequis d’un développement durable. Ces sites sont des laboratoires d’interaction harmonieuse entre l’homme et la nature, permettant de faire progresser les connaissances scientifiques et des peuples autochtones, faciliter le partage du savoir, promouvoir l’interface science-société, et favoriser les voies par lesquelles la science peut apporter des solutions concrètes dans le quotidien des populations locales. »
Audrey Azoulay, Directrice générale de l’UNESCO
 
Les réserves de biosphère sont des sites destinés à concilier la conservation de la biodiversité et les activités humaines par l’utilisation durable des ressources naturelles. L’un des objectifs est de faire émerger des pratiques innovantes de développement durable. Le Réseau mondial des réserves de biosphère est un réseau de 686 sites répartis dans 122 pays, dont 20 sites transfrontaliers. Il encourage la coopération Nord-Sud et Sud-Sud ; c’est un outil de coopération internationale exceptionnel permettant le partage des connaissances, les échanges d’expériences, le développement des capacités et de mettre les bonnes pratiques en avant. Il favorise ainsi l’intégration harmonieuse des peuples et de la nature pour un développement durable, contribuant ainsi aux objectifs du Millénaire pour le développement par le biais du dialogue, le partage des connaissances, la réduction de la pauvreté et l’amélioration du bien-être humain, le respect des valeurs culturelles et la capacité de la société à s’adapter au changement. Le réseau est donc l’un des outils internationaux principaux qui se penche sur le développement et la mise en œuvre d’approches de développement durable dans des contextes variés.
 
Les nouvelles réserves sont désignées chaque année par le Conseil international de coordination du programme composé des représentants élus de 34 Etats membres de l’UNESCO. Le Programme sur l’Homme et la biosphère de l’UNESCO, est un programme scientifique intergouvernemental visant à améliorer les relations entre l’homme et son environnement naturel.
 
Pour la première fois, une réserve de biosphère a été désignée en République de Moldova et au Mozambique. Par ailleurs, cinq sites en Australie, un site aux Etats-Unis et un autre aux Pays-Bas ont été retirés du Réseau mondial des réserves de biosphère à la demande des Etats concernés. Pour l’Australie, il s’agit des réserves de biosphère du promontoire de Wilson, de Hattah Kulkyne et Murray Kulkyne, de Yathong, de Barkindji et de Prince Regent. Pour les Pays-Bas, il s’agit de la réserve de biosphère de la mer des Wadden, pour les Etats-Unis, de la réserve de biosphère de la forêt expérimentale de San Dimas.
 
Les nouvelles réserves de biosphère sont (par ordre alphabétique des pays) :
 
Marico (Afrique du Sud) – Située au Nord du pays, cette réserve de biosphère est constituée d’un écosystème d’eau douce unique qui comprend les systèmes fluviaux de Molemane, Molopo et Marico. Cet écosystème se caractérise par des zones humides et par un système dolomitique, qui représente un élément important du patrimoine naturel sud-africain. Les zones de savanes et de pâturage abritent des espèces de plantes vulnérables la Searsia maricoana. La faune endémique comprend 73 espèces de mammifères tels que l’éléphant d’Afrique, le rhinocéros noir ou le lion. Les principales activités économiques sont l’agriculture vivrière, l’élevage, l’exploitation du gibier et le tourisme.
 
Arly (Burkina Faso) – Située dans la savane de l’Afrique occidentale, cette réserve de biosphère présente une large variété de paysages déterminés par le relief : marécages, forêts de galerie, forêts claires et savanes d’arbustes et d’arbres. Ces habitats abritent des espèces vulnérables et en danger telles que le guépard, l’éléphant, le lion, le léopard ou le vautour. La culture de céréales (millet et sorgho), d’arachides, de coton et l’élevage de bétail constituent les principales activités économiques de la région.
 
Mont Huangshan (Chine) – Se trouvant au Sud-Est de la Chine, dans la région vallonnée de la chaîne des Nanling, cette réserve de biosphère, inscrite sur la Liste du patrimoine mondial en 1990, abrite un écosystème forestier presque intact depuis la dernière époque glaciaire. Le Mont Huangshan a servi de refuge à de nombreuses espèces animales ou végétales anciennes suite à la période glaciaire du Quaternaire. Le site constitue donc une importante banque de matériel génétique et un point chaud de biodiversité animale et végétale. Cette réserve de biosphère est également une source d’eau importante pour les réseaux hydrographiques du Xin’An, du Qing Yi et du Qiupu.
 
Mont Kumgang (République populaire démocratique de Corée) – La réserve de biosphère se trouve au milieu de la grande chaîne du Mont Paektu, au sud-est du pays, et englobe des zones marines à l’Est. Le Mont Kumgang abrite un écosystème forestier relié à des écosystèmes côtiers, agricoles et d’eau douce et de nombreuses espèces endémiques et espèces rares d’importance mondiale. La zone côtière et les lacs naturels constituent l’habitat des oiseaux migrateurs qui empruntent la voie de migration Asie-Australasie. La pêche, l’agriculture et les activités forestières sont les principales activités économiques sur le site.
 
Réserve de biosphère de Suncheon (République de Corée) – Située à la pointe méridionale de la péninsule coréenne, elle comprend les écosystèmes terrestres qui entourent la ville de Suncheon (le Mont Mohusan et le Mont Jogyesan) ainsi que des écosystèmes de zones humides côtières de la baie de Suncheonman. Le site regorge de ressources biologiques, notamment des crustacées, des poissons, des coquillages, des herbes médicinales, des communautés de roseaux (Phragmites communis) et des plantes halophiles (qui vivent en milieu salin), telles que la Suaeda japonica. Les habitants –villageois ruraux, des pêcheurs et des montagnards– utilisent les services écosystémiques pour des activités économiques telles que la culture du riz, d’herbes médicinales et de fruits comme les prunes et les kakis.
 
Chocó Andino de Pichincha (Equateur) – Située au Nord-Ouest de l’Equateur, dans la province de Pichincha, cette réserve de biosphère s’étage de 360 à 4480 mètres d’altitude. Elle englobe la forêt humide de Chocó-Darien. La région est considérée comme un point chaud de biodiversité qui abrite quelque 270 espèces de mammifères parmi lesquelles l’ours à lunettes, le singe hurleur à manteau équatorien, le pacarana ainsi que des espèces endémiques telles que le toucan du Chóco ou la grenouille-fusée de Pichincha. Les quelque 880 000 habitants qui vivent dans la réserve de biosphère tirent une grande partie de leurs revenus de la production  de fruits et légumes et de la canne à sucre, de la pisciculture, de l’élevage et du commerce de détail.
 
Ponga (Espagne) – Cette zone reculée de montagnes et de forêts faiblement peuplée se situe sur les pentes nord de la cordillère Cantabrique, dans le sud des Asturies. La région est connue pour son terrain escarpé, avec des altitudes allant de 213 à 2142 mètres au-dessus du niveau de la mer. Les profondes vallées verdoyantes grimpent vers des pics vertigineux. La végétation se compose d’immenses forêts de bouleaux et de forêts mixtes comprenant des essences telles que le sycomore, l’aulne, le frêne, le châtaignier, le chêne et le noisetier. La région abrite de nombreuses espèces animales, parmi lesquelles un grand nombre sont menacées, notamment l’ours brun, le grand tétras occidental, le loup gris ou l’aigle royal.
 
Wadi Wurayah (Emirats arabes unis) – Située dans l’Emirat de Fujairah, cette réserve de biosphère constitue une zone de bassin hydrographique en climat aride qui fait partie de la chaîne des Monts Hajar. Le site abrite une faune et une flore endémiques de la péninsule arabique. Il s’agit d’un des derniers endroits aux Emirats à avoir conservé des pratiques agricoles traditionnelles.
 
Khangchendzonga (Inde) – Située dans l’Etat du Sikkim, à la frontière avec le Népal à l’Ouest et le Tibet (Chine) au Nord-Ouest, cette réserve de biosphère abrite l’un des écosystèmes les plus hauts du monde, avec des altitudes comprises entre 1220 et 8586 mètres au-dessus du niveau de la mer. Il s’agit de l’un des 34 points chauds de biodiversité du monde. Il comprend de vastes forêts naturelles abritant une diversité caractérisée par un taux d’endémisme élevé. Les principales activités économiques sont l’agriculture et l’horticulture, l’élevage, la pisciculture, la production laitière ou encore l’aviculture.
 
Berbak-Sembilang (Indonésie) – Située sur la côte sud-est de Sumatra, cette réserve de biosphère englobe les parcs nationaux de Berbak et de Sembilang ainsi que deux réserves de faune. Elle abrite des écosystèmes intacts de forêts marécageuses de tourbe et des forêts marécageuses d’eau douce, de mangroves et de forêts de plaine qui s’étendent au bord de rivières avec des marécages d’une profondeur pouvant atteindre 10 mètres. L’exploitation de palmiers à huile, de caoutchouc, l’agriculture traditionnelle (rizières, cultures sèches…) et la sylviculture sont les principales activités économiques pratiquées.
 
Rinjani-Lombok (Indonésie) – La réserve de biosphère inclut l’île de Lombok et fait partie des Petites Iles de la Sonde. Elle est composée de zones côtières relativement plates et de zones vallonnées et montagneuses. Le point culminant est le Mont Rinjani, deuxième plus haut volcan d’Indonésie (3726 mètres au-dessus du niveau de la mer). Elle abrite une biodiversité très riche constituée de différents types de végétation forestière (savane boisée, forêt tropicale humide montagneuse et de plaine) dont près de 40% sont des forêts primaires. La production horticole (légumes et fruits) et céréalière (riz), l’élevage (bovin, caprin, avicole) et la culture de café et de cacao sont les principales sources de revenus des habitants.
 
Betung Kerihun Danau Sentarum Kapuas Hulu (Indonésie) – Située à l’extrémité orientale de la province de Kalimantan Barat, dans l’île de Bornéo, cette réserve de biosphère englobe deux parcs nationaux : celui de Betung Kerihun et de Danau Sentarum. Elle se caractérise par des écosystèmes uniques de forêts tropicales humides de plaines et de montagnes qui abritent une grande diversité de la flore et de la faune.
 
Kopet-Dag (République islamique d’Iran) – La réserve de biosphère couvre une partie de la chaîne montagneuse du Kopet-Dag, située le long de la frontière entre la République islamique d’Iran et le Turkménistan. La région écologique du Kopet-Dag est une composante majeure du haut lieu de biodiversité irano-anatolien qui a pour principale fonction la conservation de nombreuses espèces menacées dans cette zone. Les principales activités économiques sont l’agriculture et l’élevage.
 
Mont Peglia (Italie) – Situé au centre de l’Italie, le site se trouve au carrefour de deux systèmes fluviaux, le Tibre à l’est et la Paglia à l’Ouest. Il est composé d’une vaste zone forestière et constitue un réservoir naturel important d’espèces de faune, de flore et de champignons au sein et autour de cet ancien volcan éteint. Ces ressources naturelles permettent la conduite d’activités compatibles avec le développement durable.
 
Val Camonica – Alto Sebino (Italie) – Le site se trouve dans la partie est de la Lombardie. La région est caractérisée par des vallées typiquement alpines et préalpines, allant des paysages de fonds de vallées aux plus hauts sommets d’Europe et au glacier Adamello, jusqu’au lac Iseo, l’un des plus grands bassins d’Italie. On y trouve des rivières et des lacs, des bois et des forêts, des glaciers, des prés et des prairies. La région possède des traditions ancestrales liées à l’agriculture et à l’élevage.
Réserve de biosphère de Charyn (République du Kazakhstan) – Située dans le bassin montagneux d’Ili, au sud-est du Kazakhstan, cette réserve de biosphère englobe la vallée encaissée de la rivière Charyn et sa forêt relique de frênes, des déserts et des steppes typiques de l’Asie centrale. La diversité floristique inclut un millier d’espèces de plantes supérieures vasculaires. La faune est riche et variée. Si l’agriculture a longtemps été la principale activité économique de la région, le tourisme se développe depuis plusieurs années ainsi que l’élevage et l’horticulture.
 
Réserve de biosphère de Zhongar (République du Kazakhstan) – Située sur la pente nord du massif de Zhetysu Alataun cette réserve de biosphère comprend tout l’éventail des écosystèmes montagneux caractéristiques des monts du Tien Shan et de l’Asie centrale. Ce territoire est d’une importance mondiale car il abrite la banque de gènes de la pomme sauvage. Les principaux secteurs économiques sont l’agriculture et la production industrielle d’huille de tournesol, de farine et d’eau de source. Les terres sont principalement utilisées comme pâturages et comme prairies de fauche.
 
Tsmimanampesotse – Nosy Ve Androka (Madagascar)- Située dans le sud-ouest du pays, cette réserve de biosphère est une mosaïque d’écosystèmes terrestres, côtiers et marins, et est considérée comme un point chaud de biodiversité parce qu’elle inclut des écosystèmes fragiles tels que des récifs coralliens, des côtes, des dunes, des marais de mer, des mangroves ou encore de la forêt littorale. La partie terrestre présente un petit nombre d’espèces floristiques et faunistiques mais un taux d’endémisme atteignant les 90%. Les activités économiques principales dans la zone sont l’agriculture, l’élevage de bétail et la pêche.
 
Prout inférieur (République de Moldova) –  Située au sud du pays, cette réserve de biosphère comprend la rivière Prout et des lacs de plaines d’inondation. Deux tiers de la surface du site sont occupés par le lac Beleu. Une zone humide, qui s’étend sur la rive gauche de la rivière Prout, abrite une mosaïque d’écosystèmes aquatiques, de prairies et de forêts. La principale activité économique est l’agriculture, qui fournit 90% des revenus de la population locale.
 
Quirimbas (Mozambique) – Situé dans la province de Cabo Delgado, au nord du pays, le site se compose de 11 îles, d’une combinaison de parcs marins et d’un système d’eau douce incluant la rivière de Montepuez et le lac Bilibiza, une réserve d’oiseaux. On y recense 3000 espèces florales, dont 1000 sont endémiques, et une faune riche qui inclut notamment 23 espèces de reptiles, 447 espèces d’oiseaux et 46 espèces de mammifères terrestres dont quatre des « cinq grands » (l’éléphant, le lion, le buffle et le léopard) ainsi que huit espèces de mammifères marins dont des baleines et des dauphins. Les activités économiques principales sur la zone sont la pêche, l’élevage, le tourisme, l’artisanat et le transport maritime.
 
Maasheggen (Pays-Bas) – Ce paysage fluvial agricole de la vallée de la Meuse, situé dans le sud-est des Pays-Bas, a été façonné par l’interaction constante entre les hommes et la nature. Le site, utilisé pour la production de fourrage pour le bétail, comprend le plus vaste et le plus ancien réseau de haies naturelles aux Pays-Bas. Le paysage consiste en une mosaïque de petits terrains agricoles entourés de haies, de dunes de sable, de forêts, de lacs, de prairies humides et de lits de roseaux. L’objectif est de faire de cette réserve de biosphère un lieu d’expérimentation du développement et du tourisme durable. 
 
Montagnes de l’Oural (Fédération de Russie) – Située dans le sud de l’Oural, cette réserve de biosphère est couverte par des de forêts mixtes de conifères et d’arbres à larges feuilles ainsi que par des forêts d’épinettes et de sapins de taïga montagneuse. Les chaînes de montagnes (dont les sommets vont de 800 à 1 178 m) et les vallées sont reliées par des cours d’eau rocheux. La partie occidentale de la réserve et de basse altitude, tandis que sa partie orientale alterne des arêtes assez escarpées avec des dépressions couvertes de lacs et de vallées marécageuses très encaissées. Le site, qui compte environ 12 000 habitants, a pour projet de passer de l’exploitation minière à un modèle de développement fondé sur la gestion durable des ressources naturelles, le tourisme et la réhabilitation des paysages dégradés après l’épuisement des mines.
 
La rivière Mura (Slovénie) – Situé à l’est du pays, cette réserve de biosphère comprend le plus grand complexe préservé de plaines d’inondation en Slovénie, où l’imbrication de facteurs naturels et de la présence humaine a créé un paysage fluvial culturel exceptionnel. Les principales sources de revenus des habitants sont l’agriculture, l’industrie, l’exploitation forestière et le tourisme. 
 
Gombe Masito Ugalla (République-Unie de Tanzanie) – Cette réserve de biosphère, qui est un site majeur pour la recherche sur les chimpanzés, englobe le Parc national de Gombe, des réserves forestières et une partie du lac Tanganyika. Les espèces animales présentes dans la région comprennent les éléphants d’Afrique, les grenouilles cornues et huit espèces de primates. Les espèces végétales comprennent une espèce découverte à Gombe et qui en porte le nom (Pleiotaxis gombensis). La biodiversité du lac Tanganyika, le plus profond d’Afrique, comprend plus de 300 espèces de poissons, 250 espèces d’oiseaux et de reptiles tels que le cobra d’eau et le serpent d’eau du Tanganyika.
 
Extensions :
 
Réserve de biosphère de la forêt de Thuringe [extension et changement de nom de la réserve de biosphère de Vessertal-Thuringe] (Allemagne) – Désignée en 1979, cette réserve de biosphère a fait l’objet d’une extension en 1986 et 1990. Avec cette nouvelle extension, le site couvre désormais 34 000 ha et devrait permettre aux communautés locales de créer une région modèle pour le développement durable.
 
Réserve de biosphère du Tessin – Val Grande Verbano [extension et changement de nom de la réserve de biosphère de la vallée du Tessin] (Italie) – Avec cette extension, les zones boisées et semi boisées de cette réserve de biosphère désignée en 2002 constituent désormais près de la moitié du site contre 24% précédemment. L’extension accroît également la surface des zones humides et des plans d’eau par la présence des grands lacs subalpins de l’Insubrie, notamment le lac Majeur et le lac de Varèse.
 
 
Photo entête : Archipel des Quirimbas au Mozambique
 

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